Le pays traverse une nouvelle colère sociale. Aujourd’hui c’est le monde agricole qui exprime sa colère, dont une large partie de sa population ne peut plus vivre de son travail.
Solidaires Finances Publiques entend et comprend une partie des revendications de ces travailleurs et travailleuses de la Terre, entre autres celles d’une meilleure répartition des richesses, de pouvoir vivre dignement de son travail.
Ces souffrances transformées en colère se dirigent comme souvent vers les symboles de l’État : préfectures mais aussi les Centres des Finances Publiques.
Si Solidaires Finances Publiques entend les raisons de cette colère, ces dégradations visant entre autres des services publics, dont ceux de la Direction Générale des Finances Publiques, ne sont pas acceptables. À ce titre, la protection des personnels doit être une priorité et les personnels concernés doivent être positionnés en autorisations d’absence.